Les manifestations de soutien aux acquis du CNRD et du président de la transition se poursuivent à travers le pays. Ce lundi. 21 avril 2025, c’était au tour des enseignants de Guinée d’exprimer leur satisfaction vis-à-vis des actions entreprises dans le secteur éducatif par le pouvoir de Conakry.
Pour les enseignants de Conakry, c’est le palais du peuple qui a servi de cadre à cette manifestation de soutien. Des enseignants de la région se sont mobilisés comme un seul homme pour louer les efforts consentis par le régime CNRD dans le cadre de l’amélioration de leurs conditions de vie et de travail. Un acte symbolique hautement salué par le chef de cabinet du Ministère de l’Enseignement Pré-Universitaire et de l’Alphabétisation.
« Quel sentiment de reconnaissance fort à l’endroit de monsieur le président de la République, le général d’armée Mamadi Doumbouya que les enseignants sur toute l’étendue du territoire national ont voulu célébrer, manifester, déjà reconnaître d’abord en premier lieu les efforts louables du président de la République pendant les trois années. Mais aussi des sentiments de satisfaction prouvés à la face du monde. Tous corps confondus sont satisfaits pendant ces trois dernières années », a indiqué Abass Camara qui n’a pas manqué de rappeler toutes les actions posées par le général Mamadi Doumbouya pour le bien-être des enseignants du pays mais aussi et surtout pour l’amélioration du système éducatif guinéen.
« Au titre de ces efforts, on peut citer ici le recrutement de plus de 12 enseignants, ce qui est une première en Guinée, et les 10 000 enseignants ont été systématiquement affectés à l’intérieur du pays pour rapprocher les élèves vers l’école et les enseignants vers l’intérieur du pays, et 2 000 aussi dans la zone spéciale de Conakry. Et le deuxième point, il ne faut pas oublier, c’est la prise en charge des couvertures médicales dans l’administration publique. Et qui parle de couverture médicale au niveau de l’administration publique, par des es enseignants, car les enseignants représentent aujourd’hui 50 000 à 60 000 fonctionnaires, et c’est ce qui est le plus important. Les enseignants dans le secteur de l’administration publique, ce qui fait plus de 60%. Donc si le président de la République a travaillé à la Caisse nationale de prévoyance sociale des agents de l’État, prendre 80% des frais médicaux, ça, ça va directement impacter les conditions de vie des enseignants », rappelle le chef de Cabinet du MEPU-A.
Cheick Fantamadi pour Siaminfos.com
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