Éruption cutanée chez des pêcheurs en Guinée: l’inquiétude monte au niveau des ports de Kamsar
Des pècheurs guinéens traversent un moment difficile en ce moment à cause d’une maladie mystérieuse de peau, provoquant des cas d’éruption cutanée contractée en haute mer. Au Port Camp Balanta de Kamsar, les acteurs du secteur sont inquiets, même si pour le moment aucun cas n’a été signalé dans la zone. C’est pourquoi, ils invitent le gouvernement à prendre toutes les dispositions nécessaires pour éviter la propagation de cette maladie.
Cette éruption cutanée dont sont victimes la plupart des pêcheurs à travers la capitale et certaines villes de l’intérieur du pays, est caractérisée par des brûlures de peau pouvant aller jusqu’au troisième degré. Elle est apparue pour la première fois au port de Bonfi et Gbessia.
Même si la maladie n’est pas encore signalée dans la sous-préfecture de Kamsar, située dans la préfecture de Boké, des pêcheurs artisanaux expriment quand même leur inquiétude.
«Depuis que nous avons appris l’existence de cette maladie les activités sont au ralenti parce que nous avons peur de l’attraper en allant pécher en haute mer.Tout le monde a peur ici aujourd’hui. Vous voyez, la plupart des pirogues ne bougent pas par mesure de précautions. Le gouvernement doit prendre toute les mesures nécessaires pour limiter les dégâts», indique Aboubacar Soumah, pécheur au port camp Balanta.
Face au nombre élevé de personnes touchées par cette maladie à Conakry, les responsables du port Camp Balanta précisent que plusieurs réunions ont été organisées afin de prendre des mesures.
«Nous avons tenu plusieurs rencontres avec la préfecture maritime et les responsables des ports artisanaux de kamsar à cet effet. Objectif, limiter les allers et retours en haute mer jusque ce que une solutiontrouvée par le gouvernement», précise Morlaye Foté soumah, président de la fédération nationale des pécheurs de Guinée.
La psychose est aussi perceptible chez des femmes mareyeuses qui craignent une éventuelle crise du poisson. C’est le cas de Fatoumata Bangoura:
Cette éruption cutanée dont sont victimes la plupart des pêcheurs à travers la capitale et certaines villes de l’intérieur du pays, est caractérisée par des brûlures de peau pouvant aller jusqu’au troisième degré. Elle est apparue pour la première fois au port de Bonfi et Gbessia.
Même si la maladie n’est pas encore signalée dans la sous-préfecture de Kamsar, située dans la préfecture de Boké, des pêcheurs artisanaux expriment quand même leur inquiétude.
«Depuis que nous avons appris l’existence de cette maladie les activités sont au ralenti parce que nous avons peur de l’attraper en allant pécher en haute mer.Tout le monde a peur ici aujourd’hui. Vous voyez, la plupart des pirogues ne bougent pas par mesure de précautions. Le gouvernement doit prendre toute les mesures nécessaires pour limiter les dégâts», indique Aboubacar Soumah, pécheur au port camp Balanta.
Face au nombre élevé de personnes touchées par cette maladie à Conakry, les responsables du port Camp Balanta précisent que plusieurs réunions ont été organisées afin de prendre des mesures.
«Nous avons tenu plusieurs rencontres avec la préfecture maritime et les responsables des ports artisanaux de kamsar à cet effet. Objectif, limiter les allers et retours en haute mer jusque ce que une solutiontrouvée par le gouvernement», précise Morlaye Foté soumah, président de la fédération nationale des pécheurs de Guinée.
La psychose est aussi perceptible chez des femmes mareyeuses qui craignent une éventuelle crise du poisson. C’est le cas de Fatoumata Bangoura:
«Ici, tout le monde est inquiet et nous qui sommes mareyeuses commençons déjà à constater la rareté du poisson au port. Les pécheurs ont peur d’aller en haute mer pour pêcher à cause de cette maladie mystérieuse. Nous craignons une crise du poison sur le marché si çacontinue comme ça», a-t-elle avouée.
A Boffa, plus de 80 cas ont été aussi enregistrés dans le port artisanal de Koukoudé, selon le président de la fédération nationale des pécheurs de Guinée.
A Boffa, plus de 80 cas ont été aussi enregistrés dans le port artisanal de Koukoudé, selon le président de la fédération nationale des pécheurs de Guinée.
Boké, Bailo Bah pour siaminfos.com