Sélectionné pour vous :  Un cadre de l'UFDG parle du RAVEC : "Nous disons que c'est une fuite en avant"

Que faut-il pour le Syli de Guinée avant la CAN 2023 ? : ce qu’en dit l’ex international Abdoul Karim Bangoura

Au mois de janvier prochain, la Côte d’Ivoire va accueillir la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) 2023. Alors que les équipes nationales devant prendre part à cette compétition connaissent aujourd’hui leurs adversaires, l’heure est aux préparatifs au sein des différentes sélections. En Guinée, ils sont nombreux ces observateurs qui révèlent des zones d’ombre dans le choix tactique du sélectionneur guinéen, Kaba Diawara.

Dans une interview exclusive qu’il a accordée à la rédaction de votre quotidien www.siaminfos.com, Abdoul Karim Bangoura (AKB), candidat à la présidence de la Fédération guinéenne de football (Féguifoot), a tenu à mettre le point le sur le ‘’i’’ :

« Il n’y pas de certitude dans notre jeu. Comme on dit, c’est une équipe nationale, les joueurs tournent. Normalement, l’ossature qui doit composer une équipe nationale doit être là. Aujourd’hui, on n’a pas une vision claire de notre équipe. On n’a de très bons joueurs, mais est-ce qu’ils pourront faire les choses ensemble. Peut-être que oui et je l’espère. Mais, pour l’instant, ce n’est pas prouvé », a-t-il martelé avant de s’exprimer sur la poule de la Guinée :

« Ça veut dire qu’on respecte la Guinée parce que si tout le monde dit qu’une poule est relevée, c’est que les équipes qui la composent ont le niveau. Mais un match, il faut le jouer avant de juger. Et ça, la Guinée a sa chance comme les autres. Ce que je peux conseiller dans de telles compétences, tu dois faire tout pour ne pas perdre le 1er match. Sur le plan mental et de la cohésion au sein du groupe, il est hyper important de faire un bon résultat lors du 1er match. Le déficit mental au niveau de notre équipe est là contrairement à celle du Cameroun par exemple. Ça fait partie de leur qualité, moralement on sait qu’ils sont costauds. Mais chez nous, il y a un manque à ce niveau là, mais ça se travaille par le discours de l’entraîneur et son staff, et avec le caractère des joueurs. Si on arrive à franchir cette étape là, ça peut nous amener très loin. C’est une étape importante dans le football de haut niveau. C’est pourquoi il y a des coachs mentaux au sein des équipes », nous-a-t-il confié.

Sélectionné pour vous :  Décès d'un acrobate en pleine répétition : «A Matam, le même accident s’est produit trois fois, et la mort s’en est suivie »

 

Mohamed Lamine Souaré pour Siaminfos.com

 

 

 

 

Laisser une réponse
Share to...